Le néerlandais fait partie d’un groupe de dialectes germaniques appelés le bas-allemand, son vocabulaire est très similaire à d’autres dialectes germaniques comme les langues frisonnes ou l’anglais, qui est également une langue germanique. Cette langue, ou du moins les dialectes néerlandais du XVIIe siècle sont à l’origine de l’afrikaans qui et toujours parlé en Afrique du Sud et en Namibie. Les locuteurs du néerlandais sont en mesure de comprendre cette langue, au moins à l’écrit. Le néerlandais est ce que l’on appelle une langue-toit, car elle est issue de plusieurs dialectes qui ont été standardisés et imposés par le pouvoir politique.
Historiquement parlé aux Pays-Bas et en Flandre, le néerlandais s’est également répandu dans d’autres régions du monde. En France, il était pratiqué en Flandre française jusqu’au xxe siècle avant de disparaître. Au total, plus de 30 millions de personnes parlent le néerlandais dans le monde, en comptant les locuteurs de l’afrikaans.
Le consommateur hollandais est relativement aisé, mais exigeant, pour eux, la qualité prime souvent sur le prix. C’est donc un marché qui présente des opportunités, à condition de savoir s’y adapter. Et pour s’adapter à un marché, il faut commencer par s’adapter à sa culture, à sa langue.
La grammaire du néerlandais est très proche de celle de l’allemand, mais se distingue néanmoins par la quasi-disparition des déclinaisons et par la faible distinction qu’elle fait entre les genres masculin et féminin. La traduction du français au néerlandais n’est pas simple, car nous avons là deux langues dont la structure (l’ordre des mots) est totalement différente. Les néerlandophones ont en effet tendance à mettre les verbes à la fin et les compléments en début de phrase.
Ensuite il existe pas mal de mots qui n’ont aucun équivalent en français, comme « aanpakken », un très beau verbe transitif qui peut être traduit, selon le contexte, de façons totalement différentes (aborder, approcher, s’attaquer à, prendre en mains…) ou « grote namen » qui peut signifier : spectacles, concerts, têtes d’affiche, conférences, débats, invités de marque, personnalités, etc.
Vous l’avez, compris, un traducteur inexpérimenté ou un logiciel de traduction automatique ne seront pas capables de retranscrire fidèlement le message de votre contenu en français. Alors qu’un traducteur humain, bien expérimenté, sera en mesure de prendre en compte le contexte culturel et le style linguistique des deux langues.
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